Le Conseil d’Administration de la Société Nationale immobilière (SNI) s’est réuni, le 17 mai 2019, à son siège social pour délibérer sur le rapport d’activité de l’année 2018, avec l’arrêt des comptes et l’examen du projet de budget 2019.
Réuni sous la présidence d’Augustin Ndong MBA, le Conseil d’administration de la Société nationale immobilière (SNI) a approuvé le rapport d’activité de la société pour l’année 2018, avec l’arrêt des comptes de l’exercice clos au 31 décembre 2018. Avec des comptes sinistrés en 2017, la réhabilitation et la restauration de l’image de la société et la relance des projets à l’arrêt, ont constitué le challenge de l’équipe dirigeante, saluée pour ses efforts par le président de séance.
« L’exercice 2018 a consisté essentiellement, pour la direction générale, à sortir un peu la société de la situation de gouffre dans laquelle elle était plongée. Pour l’année 2019, ce qui est envisagé est non seulement de poursuivre un certain nombre d’actions amorcées en 2018 ayant permis de reprendre l’activité de production dans le secteur locatif et de vente, mais aussi d’envisager le lancement d’un certain nombre de projets nouveaux », a assuré le PCA de la SNI, Augustin NDONG MBA.
Appréciant la marche des activités de la société au cours de l’exercice clos au 31 décembre 2018, et en attendant l’adoption des projets de rapport de gestion du conseil d’administration et des textes de résolution à soumettre à l’assemblée générale ordinaire devant approuver les comptes dudit exercice, les administrateurs de la SNI ont établi le cadre budgétaire 2019, le temps de l’examen et de l’adoption du budget 2019, dans le cadre d’un collectif budgétaire d’ici aux deux prochains mois.
« La SNI se trouve engagée dans un processus de fusion absorption de la Société nationale des logements sociaux depuis le mois de novembre dernier. Une fois que nous aurons achevé ce processus en cours de fusion entre les deux sociétés, un collectif budgétaire sera voté et devra permettre de lancer un certain nombre de nouveaux projets, mais aussi de s’adapter à la conjoncture économique actuelle », a assuré Augustin NDONG MBA.